Les généraux américains et britanniques sur le fascisme arménien
Les informations officielles, les lettres et les notes des généraux américains et britanniques, qui étaient des témoins des évènements du début du XXe siècle, réduisent à néant les fausses prétentions concernant le génocide « commis » contre les Arméniens vivants dans l’Empire ottoman.
Pour établir le fait de génocide prétendu contre les Arméniens de la part de l’Etat ottoman, le général James Harbord, le chef de la délégation spéciale, envoyé à Erzurum le 25 septembre 1919, a été, au contraire, le témoin du massacre commis par les Arméniens contre les Turcs dans les territoires Yanikdéré, Karskapisi, Ezirmikli Osman Agha et Mursal Pacha. « Comment ceux qui croient en Jésus pourraient-ils commettre un tel massacre ? »
Le général est tellement ému par les horreurs dont il a été témoin à Erzurum qu'il regarde avec haine les assassins dachnaks qui l'ont rencontré à Erevan et ne leur serre pas la main. Le fameux dialogue du général à Erzurum a été publié dans les journaux et les livres de l'époque. En réponse à la question de Harbord « Y avait-il beaucoup d'Arméniens à Erzurum ? », le maire d'Erzurum Zakir Gurbuz invite le général américain à venir devant la fenêtre, et en désignant les cimetières de Guez et Kavak, il dit : « Regardez, ce sont les tombes des Turcs musulmans. Dans d'autres parties de la ville, il y a des cimetières turcs dix fois plus grands. Maintenant, regardez de ce côté : voyez-vous ce petit cimetière entourée de murs ? C'est un cimetière arménien. Dites-moi vous-même, y a-t-il beaucoup de tombes arméniennes ou turques ? Les Arméniens n'ont pas mangé les morts ! A Erzurum, les morts et les vivants sont des Turcs ! »
https://www.hurriyet.com.tr/gundem/yalan-panayirindaki-tezg-h-38708573, 18.03.2005
Selon le rapport envoyé au ministère des Affaires étrangères de Grande-Bretagne par le directeur du renseignement militaire britannique Edward Lindley, datée du 9 juillet 1919 : « Les Arméniens, en se réunissant avec les bolcheviks, ont tué 8 000 Azerbaïdjanais à Bakou et 18 000 Azerbaïdjanais dans le gouvernement d'Elisavetpol. »
http://anl.az/down/meqale/xalqqazeti/2010/mart/112071.htm
Selon le rapport № 452 du 29 avril 1918 du diplomate britannique Wardrop et le rapport № 76 du 30 avril 1918 du général Marlings sur les massacres en masse des musulmans à Bakou : « Des détachements arméniens bien armés ont tué près du quart des Azerbaïdjanais. Les bolcheviks et les arméniens ont vaincu les musulmans... En mars 1918, 12 000 Azerbaïdjanais ont été tués à Bakou. »
https://genocide.preslib.az/az_a1-1.html
L’extrait du rapport du 8 décembre 1918 sur le génocide commis par les Arméniens au Garabagh, envoyé par le général de brigade britannique William Arthur Gorton à Londres : « Les Arméniens ont détruit 180 villages et ont tué de nombreux Azerbaïdjanais. Pour se défendre contre les Turcs, toutes les installations d'armes et d'artillerie du major Gibbon ont été remises aux formations armées arméniennes d'Andranik. »
http://www.mdi.gov.az/az/xeberler-30/31-mart-tarixi-yaddasimizdan-silinmeyen-soyqirimi-887
L’extrait de la lettre écrit par l'ambassadeur américain à Istanbul Henry Morghentau au général Harbord au début de 1919 : « Les 750 000 Arméniens déportés de l'Empire ottoman, se sont installés en Transcaucasie».
https://zengezur.com/index.php/9-xbrlr/147-ermni-soyqrm-iddias-v-gerck-tarix
D'après le journal du général Lionel Densterville, le commandant des troupes anglaises installées à Bakou en 1918, le chef de la résistance contre l'Armée islamique du Caucase : « Bien que les positions contrôlées par les Arméniens sur les lignes de front des deux côtés aient été renforcées par mes soldats de Stafford du Nord, ces Arméniens sont des gens extrêmement incapables. Il n'y a ni discipline ni organisation entre eux. Bakou se défend encore malgré tout. Ce n’est rien de plus qu’un miracle continu. Les Arméniens fuient toutes les positions attaquées par l'ennemi. En conséquence, mes soldats deviennent des proies faciles parce qu'ils sont privés d'aide. J'avais ordonné aux Arméniens de prendre des positions dans des lieux récemment fortifiées. Parce que nous attendions le coup dans cette direction. Cependant, ils ont refusé d'exécuter l'ordre, invoquant une attaque ennemie. Hier, les unités militaires arméniennes ont reçu l'ordre de se rendre au front. Cependant, ils se sont réunis et ont tenu une réunion sur le sujet. 30% étaient en faveur d'aller au front, 70% étaient contre ! Le colonel Zirayp Avetisov, le chef d'état-major du commandant en chef Vassili Dokoutchayev, est un homme incapable, malade et inutile. J'ai dit au général de le renvoyer et de nommer Stoke à sa place. Le 5 septembre 1918. »
https://www.facebook.com/vilayat.guliyev/posts/10223004150148179
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